A propos de la cité rose:
Un vent de fraîcheur souffle sur le cinéma français depuis quelques jours, quelques semaines.
La cité rose, film que Julien Abraham a réalisé, s'installe dans les salles et change la vision primaire et bien souvent démagogique que nous donnent les média en mal de sensations fortes et d’audimat.
Donc le réalisateur nous montre la vie dans une cité de Pierrefittes sur Seine en Seine saint Denis.
Dans ce film aucun parti pris si ce n'est celui de nous montrer comment bat le cœur de cette cité, ainsi que la vie qui y suit son cours.
Sous la narration du petit mitraillette, nous découvrons son propre parcours de vie ainsi que ceux des deux autres personnages principaux, leurs joies, leurs peines, les difficultés rencontrées à être reconnu ou plus simplement faire son trou quand on porte un blase, une couleur, un nom trop souvent stigmatisés. C'est une belle leçon de tolérance qui nous est donné dans ce citymovie.
Donc tout ce petit monde devient très vite attachant, vous avez alors de l’empathie.
Je ne vous en dit pas plus sur ce film qui va vous emmener très loin, et comme dit le slogan qui accompagne cette production : il ne faut jamais s'arrêter de rêver.
Pourquoi est ce qu'aujourd'hui je vous poste ce billet ? Tout simplement parce que j'ai adoré ce film. Mitraillette, ses amis, sa famille, son quartier sont très attachant et le parallèle peut être rapidement fait avec votre propre chemin de vie, que vous soyez du TERTER ou non.
Passé les premières minutes, le film prend du corps, se muscle pour atteindre un très forte intensité.
Pour obtenir ce rendu, il semble que Julien Abraham ai pris le parti de filmer très souvent caméra à l'épaule, à l'image d'un documentariste ou un grand reporter. Avec un scénario bien ficelé par Jimmy Laporal Trésor et Julien Abraham , vous faites très vite corps avec les différents personnages, vous passez par des stades différemment intenses de joie, de tristesse et si comme moi vous êtes prompt à vous émouvoir, c'est une rivière salée qui coulera sur vos joues.
Hormis les qualités immenses de ce film il faut aussi mettre en avant la bande originale qui est sortie le 25 mars chez les disquaires, sur Deezer ou Itunes. Une cité (p)rose est en construction avec des auteurs que j'affectionne particulièrement comme Tibault Baka ou Paps Toure qui excelle habituellement dans la photographie de rue.
Les premières images de ce film apparurent sur les réseaux sociaux il y a quelques mois déjà et certaines ont attiré plus particulièrement mon attention quand j'y reconnu le visage d'un habitant de notre commune de Lognes, le comédien Steve Tran.
Découvrir Steve dans un rôle de méchant était plus qu'intrigant car je l'avais plus souvent vu dans des rôles plutôt comiques. Dans ce rôle Steve affirme plus que jamais ses facultés et la facilité naturelle qu'il a à interprêter différents personnages.
Plus tard, j' appris que certaines de mes connaissances participaient à cette production, dont l'un des coproducteurs Sadia Diawara ou encore Almamy Mam Kanouté (militant associatif et conseiller municipal à Fresnes).
Croyant très fortement aux différents messages portés par ce film, je me suis mis à soutenir cette production au travers d'une « promotion » sur Facebook, twitter et différents autres formats. Sadia Diawara me demanda plus tard d'être ambassadeur de ce film sur Lognes et je pris un grand plaisir à le faire connaître.
Une avant première fut organisée au cinéma CGR de Torcy avec la venue d'une partie de l'équipe du film et le soutien des associations « Silence Ça Tourne », « un sourire pour Idi », le « SEL de Lognes » et « Equipe-a Prod ». Cette dernière mis le feu sur la scène et ambiança notre salle de projection comme elle seule sait le faire avec de la danse, de la musique et des chansons. Au passage, je remercie très chaleureusement François LETORT et l'équipe du CGR de Torcy qui jouèrent le feu à fond et nous laissèrent carte blanche pour cette soirée alors que la télévision diffusait le match France-Espagne de football.
Ce que je retiens de mon implication dans la promotion de ce film, c'est qu'il ne faut jamais s'arrêter de rêver, qu'avec trois fois rien on peut atteindre des sommets et que l'ouverture vers les autres fait un bien fou, mais je le savais déjà. Ce film m'a permis de rencontrer des personnages attachants,très sympathique, que je n'aurai pas croisé autre par que grâce à cette production et je pense à Beatrice Toubi, Jonas Dinal, Martine, les acteurs du film ou l'un des scénaristes.
La cité rose, film que Julien Abraham a réalisé, s'installe dans les salles et change la vision primaire et bien souvent démagogique que nous donnent les média en mal de sensations fortes et d’audimat.
Donc le réalisateur nous montre la vie dans une cité de Pierrefittes sur Seine en Seine saint Denis.
Dans ce film aucun parti pris si ce n'est celui de nous montrer comment bat le cœur de cette cité, ainsi que la vie qui y suit son cours.
Sous la narration du petit mitraillette, nous découvrons son propre parcours de vie ainsi que ceux des deux autres personnages principaux, leurs joies, leurs peines, les difficultés rencontrées à être reconnu ou plus simplement faire son trou quand on porte un blase, une couleur, un nom trop souvent stigmatisés. C'est une belle leçon de tolérance qui nous est donné dans ce citymovie.
Donc tout ce petit monde devient très vite attachant, vous avez alors de l’empathie.
Je ne vous en dit pas plus sur ce film qui va vous emmener très loin, et comme dit le slogan qui accompagne cette production : il ne faut jamais s'arrêter de rêver.
Pourquoi est ce qu'aujourd'hui je vous poste ce billet ? Tout simplement parce que j'ai adoré ce film. Mitraillette, ses amis, sa famille, son quartier sont très attachant et le parallèle peut être rapidement fait avec votre propre chemin de vie, que vous soyez du TERTER ou non.
Passé les premières minutes, le film prend du corps, se muscle pour atteindre un très forte intensité.
Pour obtenir ce rendu, il semble que Julien Abraham ai pris le parti de filmer très souvent caméra à l'épaule, à l'image d'un documentariste ou un grand reporter. Avec un scénario bien ficelé par Jimmy Laporal Trésor et Julien Abraham , vous faites très vite corps avec les différents personnages, vous passez par des stades différemment intenses de joie, de tristesse et si comme moi vous êtes prompt à vous émouvoir, c'est une rivière salée qui coulera sur vos joues.
Hormis les qualités immenses de ce film il faut aussi mettre en avant la bande originale qui est sortie le 25 mars chez les disquaires, sur Deezer ou Itunes. Une cité (p)rose est en construction avec des auteurs que j'affectionne particulièrement comme Tibault Baka ou Paps Toure qui excelle habituellement dans la photographie de rue.
Les premières images de ce film apparurent sur les réseaux sociaux il y a quelques mois déjà et certaines ont attiré plus particulièrement mon attention quand j'y reconnu le visage d'un habitant de notre commune de Lognes, le comédien Steve Tran.
Découvrir Steve dans un rôle de méchant était plus qu'intrigant car je l'avais plus souvent vu dans des rôles plutôt comiques. Dans ce rôle Steve affirme plus que jamais ses facultés et la facilité naturelle qu'il a à interprêter différents personnages.
Plus tard, j' appris que certaines de mes connaissances participaient à cette production, dont l'un des coproducteurs Sadia Diawara ou encore Almamy Mam Kanouté (militant associatif et conseiller municipal à Fresnes).
Croyant très fortement aux différents messages portés par ce film, je me suis mis à soutenir cette production au travers d'une « promotion » sur Facebook, twitter et différents autres formats. Sadia Diawara me demanda plus tard d'être ambassadeur de ce film sur Lognes et je pris un grand plaisir à le faire connaître.
Une avant première fut organisée au cinéma CGR de Torcy avec la venue d'une partie de l'équipe du film et le soutien des associations « Silence Ça Tourne », « un sourire pour Idi », le « SEL de Lognes » et « Equipe-a Prod ». Cette dernière mis le feu sur la scène et ambiança notre salle de projection comme elle seule sait le faire avec de la danse, de la musique et des chansons. Au passage, je remercie très chaleureusement François LETORT et l'équipe du CGR de Torcy qui jouèrent le feu à fond et nous laissèrent carte blanche pour cette soirée alors que la télévision diffusait le match France-Espagne de football.
Ce que je retiens de mon implication dans la promotion de ce film, c'est qu'il ne faut jamais s'arrêter de rêver, qu'avec trois fois rien on peut atteindre des sommets et que l'ouverture vers les autres fait un bien fou, mais je le savais déjà. Ce film m'a permis de rencontrer des personnages attachants,très sympathique, que je n'aurai pas croisé autre par que grâce à cette production et je pense à Beatrice Toubi, Jonas Dinal, Martine, les acteurs du film ou l'un des scénaristes.
Je sens ce film promis à un bel avenir, je vois de nombreuses et belles
rencontres avec notre jeunesse, sûrement celle de Marne la Vallée si
des opérations de séances ciné-débats sont organisées.
Il est
temps de quitter la cité rose et je tiens à remercier toute la team du
film pour ce nouveau modèle, cette nouvelle vision des choses et cette
avancée médiatique que vous avez initié.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire